Tout récemment, Daniel Ortega a été élu à la présidence du Nicaragua et Hugo Chavez a été réélu à la présidence du Venezuela.
Plusieurs pays d’Amérique latine élisent des présidents qui sont en rupture avec le néolibéralisme, favorise un meilleur contrôle des richesses de leur pays ou une meilleure redistribution des richesses.
Lula da Silva au Brésil (Brazil), Rafael Correa en Équateur (Ecuator), Michelle Bachelet au Chili.
Andres Manuel Lopez Obrador, candidat de gauche à la présidence du Mexique (Mexico) a perdu par une mince marge et accuse le gouvernement d’avoir volé l’élection.
La mondialisation néolibérale serait-elle en perte de vitesse ?
Selon Émir Sader la moitié des 400 millions de Latino-américains ne parviennent pas à satisfaire leurs besoins les plus élémentaires». (Sader, 2004) Il tire ces constatations d'une analyse des chiffres d'une publication de la Inter-American Development Bank : Persistent Poverty and Excess Inequality: Latin America, 1970-1995.
C'est certainement là un élément de réponse. voici
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Sources
Sader, E. (2004). L’héritage libéral en Amérique Latine [Version électronique]. Réseau d'information et de solidarité avec l'Amérique latine. Vu le 6 janvier 2007 de www.risal.collectifs.net/article.php3?id_article=1055.
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